Wahoo c’est moi ou le premier trimestre de l’année 2025 est passé à la vitesse de l’éclair ?
Ou est-ce parce que j’ai réussi à tenir la promesse que je m’étais faite ? À savoir d’arrêter de subir la grisaille de l’hiver en France pour passer le plus de temps possible chez moi au soleil.
Un premier trimestre sous le signe des opportunités
Si je devais résumer ce premier trimestre, je dirais « laisser venir les opportunités à soi ».
À la fin de l’année 2024, j’étais dans un état lamentable entre fatigue émotionnelle et physique.
L’opportunité de tourner mon épisode de #Diaspora229 sur place à Cotonou plutôt qu’à Paris est arrivée comme une bouffée d’oxygène !
Puis il y a eu tous les précieux moments que j’ai passés en famille, que ce soit à Dakar ou à Cotonou.
La famille, un pilier essentiel
Si comme moi vous vivez loin de ceux qui vous sont chers, alors vous savez à quel point voir ses parents vieillir n’est pas chose aisée !
C’est pour cette raison que mon vœu le plus cher est de retourner le plus souvent possible à la maison, voire de m’y installer de façon permanente.
Reste à savoir « quelle maison ? » désormais ! Cotonou ou Dakar ?
Un attachement grandissant à Cotonou
Pour l’instant, mon cœur penche énormément du côté de Cotonou, alors même que j’ai grandi au Sénégal. J’y ai évidemment mes activités professionnelles avec Ibilola, ainsi qu’un nouveau projet qu’il me tient énormément à cœur de développer durant ces prochains mois.
J’ai lancé le message à l’univers et laisse désormais venir les opportunités à moi.
Retourner au pays
Cela fait des années que je chéris ce projet de « retourner au pays », sauf que je ne me sentais pas prête.
Ces dernières semaines m’ont permis de réaliser que « plus rien » ne me retient en France.
Inconsciemment, je prépare cette prochaine étape de ma vie depuis un moment.
D’abord en obtenant ma certification de conseillère en image, puis en reprenant mes études à 40 ans pour entamer un master en marketing, et même en passant enfin mon permis de conduire.
C’est en écrivant ces lignes que je réalise que tout s’aligne pour que toutes mes compétences me servent au-delà d’Ibilola et de la création de contenus !
Une nouvelle étape professionnelle
Mon projet étant désormais clair, j’ai aussi décidé de me relancer dans une activité salariée. Ceci pour soutenir ma vision et honnêtement me refaire une santé financière !
Mes petits allocos : développer une marque de mode et entreprendre de manière générale n’est pas un long fleuve tranquille !
Moi qui ai toujours l’impression de me disperser, en réalité tout va bien et tout ira bien.
Réussir à coucher ces lignes ici et les partager avec le monde est bien la preuve que je suis prête à poursuivre dans cette direction.
Oser et avancer
Si ce n’est pas la bonne direction, alors j’en prendrai une autre ! La vie est bien trop courte pour vivre avec des regrets.
Je n’avais absolument pas l’intention d’écrire tout ça aujourd’hui, mais ça sort comme ça sort hein !
Cela raisonne avec mon résumé des dernières semaines en attendant la suite des événements !
Célébrons ensemble le retour des beaux jours !
Du côté d’Ibilola, nous avons mis en place un code promo pour célébrer l’arrivée des beaux jours !
Vous avez jusqu’au 6 avril 2025 pour bénéficier de 15% de réduction avec le code SOLEIL15 sur ibilola.com .
J’espère que cela vous fera plaisir et vous permettra de découvrir mes créations ou de craquer sur une nouvelle pièce fabriquée à Cotonou ou Abidjan.
Rendez-vous sur Canal+ Pop
Enfin, si vous vivez sur le continent africain ou que vous avez le bouquet africain dans le reste du monde, je vous donne rendez-vous dans l’émission Bonjour Santé sur Canal+ Pop, le 1er avril à 20h30 GMT (l’émission sera rediffusée à plusieurs reprises).
Merci à Lrystel Obindou et toute l’équipe de Bonjour Santé pour l’accueil chaleureux !
Et vous, où en êtes-vous dans vos projets ?
Ce début d’année a été une période de transition et de réflexion pour moi, et j’ai l’impression que beaucoup d’entre nous ressentent ce besoin de renouveau.
Quelles sont les grandes décisions que vous avez prises récemment ? Avez-vous aussi ressenti cet appel au changement ?
J’ai hâte de lire vos retours et d’échanger avec vous !
Pour aller plus loin Découvrir www.ibilola.com ma ligne de vêtements grande taille en Wax Commander mon livre Fière d’être moi-même, Ed. Leduc à la Fnac ou sur Amazon Me suivre sur Instagram Rejoins la communauté sur Facebook Discutons sur Twitter J’ai quelques vidéos sur YouTube
Hello mes petits allocos ! Je reviens ici sur ma semaine marquée par le renouveau du printemps, mon engagement contre la grossophobie, la websérie Diaspora229, une nouvelle création pour Ibilola et ma reprise du sport.
Comment vivez-vous le changement de saison ?
De mon côté, j’éclos toujours en cette saison comme les fleurs ! Si, si, je vous assure que j’ai l’impression de renaître. Cette semaine, j’ai retrouvé de l’énergie, et pourtant, ce n’est pas toujours évident après un retour de ma terre mère.
Retrouver mon équilibre après mon retour du Sénégal
Chaque retour du continent est une transition : je dois me réadapter au climat, à la vie en solo, aux transports en commun et aux incivilités. Mais cette semaine, plusieurs événements m’ont aidée à me ressaisir et à profiter du retour du soleil.
Une interview engagée sur la grossophobie
Lundi, j’ai donné une interview face caméra sur un sujet qui m’attriste et me passionne à la fois : la grossophobie. J’ai remarqué que ce sujet est moins médiatisé ces derniers mois. Est-ce à cause de la montée de l’extrême droite ? De la parole raciste, sexiste et oppressive décomplexée sur les réseaux sociaux ? Quoi qu’il en soit, cette interview sera diffusée dans quelques semaines et j’espère que mon message atteindra celles et ceux qui en ont besoin.
Le combat continue, d’autant plus avec l’apparition d’un nouveau filtre IA permettant de se visualiser en tant que personne grosse ou mince. J’ai aussi vu un autre filtre tout aussi problématique, qui change la couleur de peau…
J’ai ressenti le besoin de m’exprimer sur ces sujets et je l’ai fait dans une vidéo que vous découvrirez ci-dessous.
C’est une victoire pour moi, car j’ai souvent du mal à réagir spontanément en vidéo à l’actualité. Je prends du temps pour structurer mes idées et, souvent, je finis par ne rien publier. Cette fois, j’ai réussi à dépasser mes doutes !
Diaspora229 : mon expérience franco-béninoise
Autre moment fort de la semaine : j’ai découvert les premières images de mon dernier séjour au Bénin. Le teaser de la websérie Diaspora229 a été publié par l’Ambassade de France au Bénin, et j’ai hâte de voir mon épisode !
Ce projet me tient à cœur, car il met en lumière mon rapport au Bénin et à ma pluri-nationalité (béninoise, sénégalaise et française). Depuis les débuts d’Ibilola, je rêvais de vous emmener vivre « l’expérience Ibilola au Bénin ». Cette websérie est une opportunité parfaite pour concrétiser cela !
Une nouvelle création pour Ibilola : la robe Sofia
D’ailleurs, lors de ce séjour, j’ai conçu une nouvelle robe pour la capsule soyeuse d’Ibilola : la merveilleuse Sofia. Inspirée du traditionnel boubou, elle est réalisée dans un tissu satiné au toucher soyeux.
Vous reconnaîtrez sans doute les deux imprimés Juicy et Smoothie de la dernière capsule soyeuse. Ce sont eux qui habilleront la robe Sofia, que vous pouvez la découvrir en détails sur la boutique en ligne d’Ibilola.
Les petits pas pour avancer
Si je devais résumer cette semaine en un mot, ce serait : Les petits pas vers le renouveau du printemps. C’est dans cette dynamique que je veux avancer, aussi bien personnellement que professionnellement. Je vous en parlais déjà dans mon billet précédent d’ailleurs.
Se remettre en mouvement, au sens propre !
D’ailleurs, en parlant de mouvement, je suis retournée chez le kinésithérapeute… et ce n’était pas fameux ! J’ai trop séché mes séances ces derniers temps. Alors, je me fixe un nouvel objectif : y aller deux fois par semaine, en plus de marches matinales avec ma voisine Anita.
Le soleil qui se lève plus tôt devrait m’aider à garder cette habitude. Envoyez-moi vos ondes positives !
Et vous, comment vivez-vous l’arrivée du printemps ?
Ce changement de saison vous booste-t-il ou vous laisse-t-il indifférente ? J’adorerais lire vos réponses en commentaire.
Et puis, que pensez-vous de ce format d’article hebdomadaire ? Quels sujets aimeriez-vous voir abordés ici ?
Je vous souhaite une magnifique semaine !
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Je n’avais pas réalisé au moment de lancer ma série « Vroom Vroom je m’autorise » sur le permis de conduire que cette expression deviendrait mon mantra. Il est question ici d’être en mouvement et de savoir saisir des opportunités tout en restant alignée à sa vision.
Mars, le mois du mouvement
Le mois de mars a toujours été une période particulière pour moi. Marqué par des pertes douloureuses, il a longtemps été synonyme de tristesse et d’appréhension. Ma grande sœur nous a quittés le 1er mars, et ma cousine le 27. Chaque année, j’ai vécu ce mois comme une épreuve, en apnée, avec la douleur en fil conducteur.
L’an dernier, pourtant, j’ai franchi une étape dans mon processus de deuil. J’ai choisi de me rendre à Lisieux pour un pèlerinage, une décision qui m’a profondément apaisée. C’est ainsi qu’est née ma volonté d’aborder le mois de mars autrement : en mouvement. Bouger physiquement, mais aussi mentalement. Je réalise aujourd’hui combien cela m’est nécessaire.
Dakar : un retour aux sources
Cette année, j’ai commencé le mois de mars en famille, à Dakar, pour commémorer les 30 ans du rappel à Dieu de ma sœur. Une rencontre qui devait être simple mais qui, avec ma mère (tu connais), a naturellement pris une ampleur plus grande. Le stress des préparatifs m’a occupée jusqu’au dernier moment, mais une fois tout en place, j’ai pu profiter pleinement de ce moment en famille.
C’est alors qu’une invitation inattendue est arrivée : une opportunité de participer à une émission télévisée en Côte d’Ivoire. La rédactrice en chef me suit sur les réseaux sociaux et, sachant que j’étais à Dakar, elle a saisi l’occasion pour m’inviter sur le plateau. Un de ces fameux « rendez-vous » du destin ?
Dans mon état d’esprit du moment – « Vroom Vroom je m’autorise ! » – j’ai dit oui sans hésiter. Et puis, avouons-le, quelques jours tous frais payés là où c’est le plus doux au monde, ça ne se refuse pas !
Abidjan : créativité et nouvelles opportunités
Ce voyage a été l’occasion parfaite pour rendre visite à Samuel, mon collaborateur à Abidjan. C’est dans son atelier que sont confectionnés les bombers Winston et les combinaisons Tricia d’Ibilola. J’adore être sur place, entendre le bruit des machines, voir les vêtements prendre vie sous mes yeux. C’est dans ces moments-là que je me sens la plus inspirée et la plus alignée avec ma mission de créatrice.
J’en ai profité pour récupérer les premières commandes de mars et discuter avec Samuel des prochaines collections. Il m’a suggéré de nouveaux tissus et modèles qui m’enthousiasment déjà. Les premiers prototypes sont en route, et j’ai hâte de vous les dévoiler !
En attendant, je suis ravie de vous annoncer que la précommande de la combinaison Tricia en chambray est ouverte ! Vous pourrez la personnaliser avec deux imprimés Wax au choix – Kara et Kaffrine – ou opter pour une version sans Wax. C’est vous qui décidez !
Autre exclusivité : un nouvel imprimé rejoint la collection Fleur de Mariage sous le nom de Matemwe Pastel. Vous pouvez le sélectionner ici pour votre bombers Winston.
Retour à Paris
Alors que j’écris ces lignes, mon vol fait escale à Bamako avant de rejoindre Dakar. Après un rapide passage pour récupérer mes affaires, direction Paris pour le She Leads by Lemfi.
Ce mois de mars, autrefois redouté, est devenu un mois de renouveau, de création et d’opportunités. Le mouvement est la clé, et je sens que nous sommes sur la bonne voie.
Je comptais publier cet article la semaine dernière, mais j’ai été happée par le tourbillon de mon départ imminent de Dakar : une nouvelle coiffure, des visites à la famille – principalement pour remplir ma valise de bons plats du pays …
Me voici donc au lendemain de l’événement She Leads by Lemfi, qui fut une véritable réussite ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris la parole en public, et pourtant, c’est l’un des aspects de mon activité que je préfère. Ce moment m’a rappelé combien j’aime partager, échanger et inspirer.
De retour à Paris, je me replonge dans mes projets avec enthousiasme en attendant l’arrivée du printemps : ma saison préférée !
Découvrez un résumé en images de ces dernières semaines sur mon compte instagram !
Les photos dans ce billet ont été prises par Dominique Ernest.
Je porte le pantalon Sitoé dans l’imprimé Asmara et tous les autres articles sont issus d’anciennes collections d’H&M.
Restez connectées, de belles choses arrivent !
Et vous, comment abordez-vous le mois de mars ? Partagez-moi vos pensées en commentaire !
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Hello mes petits allocos ! Je suis si heureuse de vous annoncer que j’ai réussi ma 1ère année de master en marketing. Ceci est l’occasion idéale de revenir sur mon expérience de la reprise d’études à l’âge de 40 ans.
Si vous vous demandez le pourquoi de cet incroyable move dans ma carrière alors rendez-vous sur cet article publié lorsque je me suis lancé : reprendre ses études à 40 ans.
C’est au début du mois de septembre que j’ai validé l’année puisque je soutenais au rattrapage mon projet managérial (que j’appelais mémoire dans mes stories quotidiennes sur instagram) . Autant vous dire que j’ai passé l’été dans un tel état de stress sachant que j’avais réussi toutes les matières mais celle-ci était la plus importante pour être admise en Master 2.
Cette année a été rempplie d’apprentissages tant académiques que personnels. Je suis heureuse de partager avec vous mes pensées sur cette expérience. J’espère que cela vous aidera si jamais vous êtes dans cette démarche.
Le bilan
Disons que le début du parcours était excitant car j’apprenais pleins de nouvelles choses et découvrais tout un monde que je pensais connaître alors que ce n’était absolument pas le cas.
La dose d’adrénaline a été à son max entre les événements auxquels je devais assister, les voyages à l’étranger, la gestion quotidienne d’Ibilola.
Ma santé physique et mentale en ont d’ailleurs pris un coup comme je le racontais déjà dans mon bilan du 1er trimestre de l’année (lire l’article ici). Trouver un équilibre entre la vie privée, professionnelle et les études fut une mission quasi impossible.
Il faut dire aussi que le contexte économique et géopolitique n’ont pas du tout aidé. C’est difficile aussi bien pour les ménages que pour les entreprises, notamment les entrepreneurs comme moi.
Trouver un équilibre
La fin de l’année scolaire a été particulièrement pénible. D’abord parce que l’organisation des enseignements était bancale, que je devais sans cesse adapter mon agenda alors que j’avais pris des engagements pour Ibilola dont un voyage en Guadeloupe pour assister à la Sois belle et fais-toi, le salon de la mode éthique grande taille et le festival C’est qui la boss ? à Paris. Tout ceci en terminant le mémoire et la soutenance de celui-ci sans compter le lancement de nouvelles collections pour Ibilola. Non mais qui fait ça ?
En avril par exemple j’ai dû annuler la pool party body positive que je comptais organiser en Martinique. J’ai ainsi perdu les sous déjà investis car mon planning de cours n’était pas compatible. Et voilà que j’avais finalement 2 semaines complètes de libres ! Tout ceci à cause d’une partie de l’équipe pédagogique et administrative défaillante.
J’aurais pu sécher me direz-vous ! Sauf que c’est impératif pour moi d’assister aux cours pour retenir le maximum d’informations et prendre des notes.
Je suis d’ailleurs fière de n’avoir manqué aucun cours même lorsque j’étais à Cotonou ou Dakar.
Cette expérience m’a en fin de compte appris à véritablement gérer mon agenda, mes priorités et à savoir jongler entre plusieurs vies.
Réfléchissez bien avant de reprendre vos études mais ne réfléchissez pas trop non plus !
Le rapport avec mes professeurs et mes camarades
Étant très sociable, je pense pouvoir affirmer que j’ai été très appréciée des enseignants.
Je prenais des initiatives ceci parce que je suis d’un naturel leader. Bon c’est aussi ce qui m’agaçait parfois car je me suis rendu compte que certains de mes camarades se reposaient d’ailleurs sur moi !
Contrairement aux années fac lorsque j’étais plus jeune, le rapport aux enseignants n’était pas dans une certaine forme de domination. Le public ici est adulte et nous sommes pratiquement de la même génération.
C’était vraiment appréciable car eux aussi ont des histoires de vie et un parcours particulier qui les a menés à enseigner dans cette structure en particulier.
On sent néanmoins plus ou moins d’investissement selon les enseignants hein.
La raison pour laquelle je n’ai pas investi dans une formation en ligne était que je souhaitais du contact humain. Autant dire que j’étais bien soûlée par les vidéos préenregistrées que certains intervenants diffusaient pendant leur heure de cours.
J’ai besoin d’échanges et discussions moi !
C’est aussi en cela que les cours en vision étaient pratiques mais frustrants. Je me réjouissais de suivre les cours en présentiel le samedi. J’étais clairement surexcitée à l’idée de sortir de chez moi pour m’y rendre !
Concernant mes camarades de promotion, j’ai apprécié de faire de nouvelles rencontres. Retrouver une vie sociale hors de mon activité dans le digital m’a fait énormément de bien.
J’ai néanmoins détesté les travaux de groupe. Alors là non merci ! Le manque d’implication de certaines alors que d’autres se tuaient à la tâche m’a déstabilisée. Cela fait plus de 10 ans que je travaille à mon compte et je n’avais jamais vraiment eu de travail de groupe à l’université. C’était une sacrée découverte dont je me serais bien passé.
Mes matières préférées
J’ai adoré les cours de marketing digital évidemment parce que c’est ce qui m’avait menée dans cette formation mais aussi parce que l’enseignement était vraiment qualitatif.
J’ai aussi découvert des notions de CRM (gestion de la relation client) que je compte approfondir et qui me serviront pour Ibilola.
Cerise sur le gâteau : mon vocabulaire en anglais s’est enrichi de nouveaux mots grâce au cours de business communication.
J’avais naturellement des facilités dans certains domaines et j’ai globalement approfondi mes connaissances dans toutes les matières.
En revanche j’ai complément pataugé et même décroché sur tout ce qui concernait la stratégie et le management commercial.
C’est même grâce à ma formation que j’ai réalisé que ces sujets sont intimement liés pour la vente d’un produit.
Plus armée pour la suite avec ma marque Ibilola
Dès les premiers cours j’ai compris que j’avais fait un excellent choix !
Mon but était de servir Ibilola et c’est exactement ce qui est arrivé.
L’avantage d’être à son compte est que je peux appliquer les enseignements au fur et à mesure d’autant plus que j’ai une petite structure dans laquelle je peux m’adapter et rebondir à tout moment.
C’est d’ailleurs ce que je retiens réellement de cette première année de master : j’ai trouvé ce que je recherchais.
Je comprends enfin le langage des marketeux. J’en suis même une ! Je comprends ce que les actions que j’effectuais de façon intuitive impliquent désormais pour mon entreprise.
L’apprentissage c’est aussi d’observer et analyser les données en ma possession. Et des données j’en ai à la pelle !
C’est en rédigeant mon projet managérial que j’ai pris la mesure de tout ce que j’ai réussi à créer toute seule avec Ibilola.
Vous savez j’ai commencé ma marque uniquement avec mes envies et une communauté engagée qui m’a fait confiance.
Aujourd’hui je me sens comme sur un plateau et dans une zone de confort dont il m’est nécessaire mais difficile de sortir pour mener Ibilola encore plus loin.
Grâce à cette formation je me sens armée d’une vision plus claire pour le futur.
J’estime que la réussite de cette première année de master est le fruit d’un travail collectif aussi bien avec les enseignements que j’ai reçus que grâce à vous qui me suivez depuis si longtemps et qui avez pris le temps de répondre à mes différents sondages.
Et maintenant ? Qu’est-ce qu’on fait ?
Alors master 2 ou pas master 2 ?
Eh bien j’arrête. Il n’y aura pas de Master 2 pour moi cette année. Je ne dis pas que je n’y retournerai jamais hein. Maintenant que je me sais capable de reprendre des études, de continuer à apprendre et persévérer, j’ai en fait tout un boulevard devant moi !
Néanmoins, oui j’ai réussi haut la main et ça a mis du baume au coeur à la Gaëlle de 20 ans qui avait si mal vécu ses années fac, oui j’ai énormément appris et rempli ma mission de servir Ibilola mais les raisons pour lesquelles j’en suis arrivée à prendre cette décision sont le fruit d’une profonde introspection.
Alors je vous donne rendez-vous dans le prochain billet pour partager avec vous ces réflexions ainsi que mes projets pour cette rentrée.
Le look du jour est composé de pièces issues de la dernière capsule soyeuse pour Ibilola. Il s’agit de tenues fluides et légères qui en précommande sur ibilola.com de la taille 36 à 62.
Je porte précisément le kimono mousseline Sally ainsi que le pantalon Sitoé.
Le top rose est un prototype du crop top Mia dans une matière que je teste actuellement pour les saisons à venir.
Les photos ont été prises à Dakar au Sénégal par Khalil
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Si mes calculs sont bons, je souffle ma quarante-et-unième bougie ce mercredi 29 mai 2024 !
Les années se suivent mais ne se ressemblent pas …
Une fois n’est pas coutume, cette année je n’ai pas organisé de shooting spécial pour marquer la commémoration de ma naissance.
Il s’agit d’une tradition que j’ai lancée il y a bien longtemps ici pour accompagner mon article de blog.
J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.
Pour tout vous avouer, je suis tellement prise par mes études et la gestion de ma marque Ibilola que je n’ai pas réussi à trouver l’espace mental suffisant pour assurer la logistique d’un shooting.
Et puis je suis triste.
Je suis triste et révoltée de savoir que du Congo RDC où j’ai passé une partie de mon adolescence à la Palestine, il y a un génocide qui a lieu sous nos yeux, en direct sans pour autant que la communauté internationale n’appelle à un cessez le feu clair et immédiat.
Ces images sont insoutenables.
Ces peuples opprimés et familles disloquées sont constamment dans mes prières.
Alors bon, déjà que je n’étais pas dans le mood là le coeur n’y est pas particulièrement.
C’est ici qu’il est primordial de prendre conscience de nos privilèges comme celui d’être en vie, dans une société dans laquelle nous sommes relativement protégés sans craindre pour notre vie à chaque coin de rue.
Alors oui. Vivons. Aimons-nous vivants surtout.
Pour en revenir à mon nombril. Cette absence de shooting photos traditionnel dénote aussi du manque d’entrain que j’ai ressenti cette année à l’approche de cette journée que j’aime tant !
Est-ce parce qu’à plusieurs reprises ces derniers mois je me suis sentie en décalage par rapport aux personnes de mon âge ?
Une année d’introspection ?
C’est pourtant moi qui affirmais dans ce billet que ma vision de la réussite ne réside ni dans le fait d’être maman, en couple, avec des investissements à plusieurs milliers d’euros à 40 ans ?
Et pourtant, je me suis surprise à questionner mes choix de vie et même à remettre en perspective ma démarche de reprendre mes études alors que je ne suis à la recherche d’aucun diplôme.
Est-ce ce qu’on appelle la sagesse ?
Ou est-ce cette attitude toxique de sans cesse se comparer aux autres, notamment par rapport à tout le contenu publié sur les réseaux sociaux ?
En tant que créatrice de contenus, il me paraît primordial de réussir à connecter avec sa communauté notamment avec son mode de vie et les réalités de sa génération.
Certaines de collègues de 40 ans et plus ont par exemple des problématiques de parents d’adolescents. Pendant ce temps je prépare mes examens de master tout en essayant de naviguer dans une vie d’entrepreneur pleine de rebondissements.
Tout en étant heureuse et comblée dans la vie que j’ai choisie et pour laquelle j’ai tant travaillée, il m’arrive d’avoir des moments de doute sur ce que je peux continuer à apporter à travers le contenu que je crée.
Je sais pertinemment qu’il y a une multitude de vécus et que le mien en inspire plus d’une ! J’espère continuer à le faire tant que j’aurais des choses à partager.
Si je devais résumer l’an 40 après Gaëlle Prudencio, je dirais « introspection ».
J’ai d’ailleurs pour objectif de participer à une retraite spirituelle prochainement. Je suis preneuse de vos adresses si vous en avez à recommander.
Je ressens le besoin de calmer le bruit des écrans et d’une vie ultra connectée !
Au moment où j’écris ces lignes, nous sommes tout juste à la veille de mon anniversaire.
Enfin lâcher prise
Comme à chaque fois j’ai pris le temps de relire les lignes de ma publication de la précédente célébration.
Et là, je réalise à quel point je me suis laissée happer par toutes mes réflexions au point de ne pas profiter de l’instant présent.
J’ai oublié de me féliciter en cours de route notamment pour les examens que j’ai validés ou encore pour le succès des nouvelles collections que j’ai lancées malgré un contexte difficile pour l’industrie de la mode et même pour mon bien-être physique et mental que je réussis à mettre au centre de mes préoccupations.
Je disais regretter de ne pas avoir organisé mon shooting. A bien y regarder, avais-je réellement envie de « performer » l’anniversaire cette année ? Ai-je sacrifié ce moment que j’apprécie tant pour me concentrer sur d’autres sujets ?
Je pense surtout que c’est une forme de lâcher-prise et ce n’est pas nouveau.
L’an dernier déjà je créais un groupe whatsapp que j’ai quitté en encourageant fortement mes amies et ma famille à organiser un anniversaire surprise pour mes 40 ans.
J’en profite pour revenir ci-dessous sur les images souvenirs de cette incroyable journée !
Je ne savais pas à quoi m’attendre mais j’ai fait confiance et mon coeur est encore plus en joie en revivant cette journée à travers la vidéo et les photos.
Merci à toutes les belles âmes qui se sont investies dans cette incroyable fête.
Let’s keep it simple
Je préfère prolonger la dernière fête avec toutes ces images mais ne vous y méprenez pas hein !
Depuis toute petite, quoiqu’il arrive : je marque le coup pour le 29 mai. J’ai bien trop conscience de la bénédiction que c’est de souffler une nouvelle bougie pour ne pas en profiter pleinement.
Le programme : un brunch avec les amies disponibles en pleine semaine !
Le maître-mot cette année est let’s make it simple ! Je m’en réjouis d’avance !
Notre prochain rendez-vous
Quant à vous qui me lisez, que faites-vous dimanche 2 juin ?
Rejoignez-moi au Ground control, 81 rue du charolais à Paris pour poursuivre les festivités et découvrir mes créations à l’occasion du salon de la mode éthique grande taille.
Retrouvez toutes les informations chez Ibilola ici.
Les prestataires
Je tiens à recommander ces prestataires pour vos prochains événements !
Dj : Jacko Sow Me contacter pour avoir son numéro. Ambiance au top !
Joyeux anniversaire ma Gaëlle. Je suis fière de toi.
Keep shining !
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Hello mes petits allocos ! Oui c’est officiellement le titre que j’ai décidé de décerner à tous les membres de ma communauté après plus de 15 ans de présence sur internet.
Je ne sais pas ce qui m’a pris de vous baptiser ainsi mais sachez que l’alloco qui est de la banane plantain découpée et frite est douce, sucrée et agréable en bouche. Comme vous !
Je vous avais laissé au mois de février avec mes adieux à l’année 2023, pensant revenir assez vite pour poser mes intentions pour l’année 2024 et nous voici déjà en avril ?
Eh oui. Je me suis laissée complètement submerger par le travail, les études et la vie d’adulte.
J’ai aussi l’impression d’être tellement la tête dans le guidon que je n’arrive pas à prendre un tout petit moment pour visualiser mon avenir. Ne serait-ce que sur allez ! 3 mois ?
Je me dis que je devrais peut-être prendre la question dans l’autre sens. Plutôt que de me mettre la pression à avoir des objectifs que je n’arrive absolument pas à atteindre, je vais revenir sur le premier trimestre de cette année et faire le point sur mes victoires de ce début 2024.
Nous avons tendance à ne voir que l’aspect négatif des choses alors que le positif est là sous nos yeux sans que nous n’y prêtions attention.
Alors c’est parti !
Le bien-être, la santé, tout ça…
Mon bilan sanguin annuel a révélé que je suis en hyperthyroïdie. Cela faisant pourtant plus de 2 ans que j’étais enfin équilibrée après l’ablation totale de ma glande thyroïdienne.
Ce déséquilibre a entraîné une anémie sévère et autres petits bobos. Cela fait déjà 1 mois que je suis sous traitement. Je commence à sortir de ma torpeur.
L’activité physique
Malgré une méchante chute le 1er janvier qui m’a menée à avoir une infiltration dans le genou le 8 mars, j’ai réussi à tenir le coaching sportif avec Willy.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de négocier l’annulation des séances comme en atteste ce reels qui nous a tellement amusé à réaliser !
J’aimerais trouver un format pour échanger sur les bénéfices du sport lorsqu’il est dissocié de la culture des régimes et qu’on traîne des traumas à la pelle sur le sujet.
J’y pense notamment par rapport aux détracteurs du mouvement body positive qui sont tellement de mauvaise foi lorsqu’ils affirment qu’il y est question de faire l’apologie de l’obésité.
Ces gens n’ont aucune idée du travail que c’est que d’apprendre à s’accepter lorsqu’on n’entre pas dans les normes de la société, qui plus est dans des espaces où nos particularités physiques sont sujettes à stigmatisation et à discrimination.
Sérieusement : moi qui cumule grossophobie, racisme et sexisme, je peux vous dire que s’exprimer sur les réseaux sociaux et être présente dans l’espace public est une réelle démarchepolitique.
J’aimerais pourtant juste être moi en fait. Ceci sans avoir l’air de faire quelque chose de spécial à chaque fois que je mets un pied devant l’autre.
Sinon j’ai un peu menti au sujet du fait de prendre tu temps pour soi. J’ai réussi à me poser le temps d’un week-end pour effectuer mon premier pèlerinage.
Au départ j’étais envoyée en mission par ma maman pour déposer des intentions de prières à Lisieux pour la famille.
Sur place j’ai été happée par la quiétude et l’ambiance pieuse des lieux. j’en ai profité pour prier et me ressourcer. Cela m’a fait un bien fou d’autant plus que c’était durant le week-end anniversaire du décès de ma grande soeur.
Je redoute tant le mois de mars car tous les ans depuis 29 ans je revis les heures qui ont précédé la terrible annonce de sa mort. Chaque mot, chaque geste, chaque échange revient comme si c’était hier. Il y a des années où c’est plus dur que d’autres … Je me console en me disant : « quelle chance d’avoir connu Sylvana Marie Yvonne Ibilola ! » « Quel honneur de pouvoir dire que c’était ma grande soeur ! ».
Je crois sincèrement qu’elle est mon ange gardien.
Le séjour à Lisieux m’a permis de vivre cette fameuse date où tout a changé comme une transition. Une douce transition. J’ai bien aimé cette sensation.
Les études !
Changement d’ambiance : je commence à me décourager concernant mes études.
Vous savez le fameux master en marketing que j’ai commencé en octobre dernier.
J’ai vécu une sorte d’euphorie de faire quelque chose pour la première fois, découvrir un monde qui m’était pratiquement inconnu jusqu’à présent puis le soufflé est retombé. Eh bien oui ma cocotte ! Il s’agit là d’un véritable engagement avec des cours, des devoirs et des examens ! Oui oui oui.
Malgré de grosses phases de découragement car j’ai du mal à allier la gestion de mon entreprise et les cours, je sais que cette démarche est à 100% bénéfique pour moi.
Se former, investir sur soi et sur le long terme est vraiment primordial dans ma démarche de développement personnel et professionnel.
Bon et puis attendez : j’ai réussi mes premiers examens haut la main !
J’ai eu du mal à me réjouir tant je manque de recul alors que la go a dead ça en fait !
Je m’accroche à cela pour la suite car la procrastination n’est jamais très loin.
L’entrepreneuriat
Du côté d’Ibilola, ma ligne de mode grande taille made in Africa, l’année démarre plutôt bien et je suis surexcitée !
Des nouveautés
J’ai lancé une capsule de boubous « Rich aunty » que je n’ai même pas eu le temps de vous montrer ici. Elle a été immédiatement sold out.
J’ai testé un lancement exclusivement via la newsletter car l’algorithme d’instagram est bien trop facétieux. Il me fait ch*er. Voilà c’est écrit.
Sandra et moi portons ici l’un des modèles fabriqué à Dakar au Sénégal.
Je vous invite d’ailleurs à vous inscrire sur ce lien pour être tenue informée du prochain drop de boubous. Oui il y en aura un !
J’ai par ailleurs lancé de nouveaux imprimés pour le bombers Winston. L’imprimé Bambey bleu et le Grand-Popo se sont ajoutés aux imprimés Bambey vert, Bambey rose, Zanzibar, etc. Vous les retrouverez tous sur l’e-shop d’Ibilola par ici.
Grand-Popo est en rupture de stock. Il s’agit vraiment d’éditions limitées avec peu de stocks de tissus.
J’espère que vous y trouverez votre bonheur d’autant plus que cette pièce est désormais disponible de la taille 34 à 62 !
Sachez que la nouvelle collection d’imprimés en wax pour la collection permanente arrive d’ici quelques semaines.
Je ne peux pas me rendre à Cotonou pour l’instant alors j’ai travaillé à distance avec l’équipe sur place. J’espère que le choix final de tissus vous plaira.
L’influenceuse
Cet aspect de mon activité en ligne est particulièrement calme en ce moment. N’est-ce-pas le moment idéal pour réfléchir, s’adapter, rebondir ?
En tous cas, je réussis enfin à créer du contenu sans me prendre la tête. Oui c’est un comble pour une créatrice de contenus !
J’ai tellement de moments de doute ! Hey, je devrais vraiment vous inviter dans ma tête ! Certaines font des vlogs « une journée dans mon assiette ». Que pensez-vous « d’Une journée dans ma tête ! » ?
Je me demande souvent si je suis la seule à autant être « dans ma tête ».
Je vais parfois tellement tergiverser au sujet d’une publication par exemple que j’aurais tendance à l’abandonner.
Je suis souvent frustrée parce que mes publications ne seront pas largement diffusées ou alors que celles qui génèrent beaucoup de vues et de conversations seront celles sur lesquelles je me fais copieusement insulter par la masse d’abrutis présents sur ces plateformes.
Autant vous dire que publier du contenu qui me fait plaisir, sans réfléchir outre mesure est une réelle victoire du quotidien.
Si personne ne vous l’a dit aujourd’hui « postez-le ce foutu contenu dans vos brouillons ».
Le self care en fait
Autre réussite et pas des moindres : Marcel, la monstera que j’ai reçue pour mes 40 ans fait de nouvelles pousses. Ah vous ne vous attendiez pas à ce genre de victoire hein !
Et pourtant, la plant mom que je suis a versé sa larme en découvrant ces pousses. Je pensais que j’avais tué la plante ! Cela m’a motivée à la rempoter. Attendez que je me lance dans du contenu floral ! Vous n’allez plus respirer !
Si je devais faire une liste des astuces self care que j’ai adoptées il y a clairement : le jardinage qui me met dans une sorte d’état méditatif, le sport mais pas les squats, l’écriture automatique comme en ce moment.
J’ai rédigé ce billet en laissant courir mes doigts sur le clavier. Au début j’étais assez déçue de me dire que ce début d’année était bizarre.
Finalement, revenir sur ces quelques victoires qui sont loin d’être les seules m’apporte la motivation nécessaire pour continuer à suivre ma joie encore et encore !
Il est temps de vous quitter en espérant vous retrouver bientôt ici et pratiquement tous les jours en stories sur instagram.
Je vous souhaite un joli mois d’avril en attendant le plus beau mois de l’année. Ceux qui savent, savent.
Les photos sont de Capucine De Chocqueuse. J’ai été maquillée par Sandra Têvi.
Pour aller plus loin Découvrir www.ibilola.com ma ligne de vêtements grande taille en Wax Commander mon livre Fière d’être moi-même, Ed. Leduc à la Fnac ou sur Amazon Me suivre sur Instagram Rejoins la communauté sur Facebook Discutons sur Twitter J’ai quelques vidéos sur YouTube