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Hello mes beautés !

Dans ce billet je vous parle un peu de mon amour pour le Bénin en cette journée de fête nationale à travers un look 100% afropéen qui m’a été inspiré par la tenue que portait l’une des filles de mon amie Danielle le 14 juillet : un mix de marinière et Wax.

L’élément principal : ma jupe en Wax Ibilola.

J’ai choisi la longueur maxi pour cet imprimé « Green » que vous avez plébiscité lors de la dernière vente privée ! 

Notez que vous pouvez de nouveau pré-commander les collections Ibilola dont cette jupe sur Ibilola.com et que je suis ravie de vous offrir 15% de réduction* avec le code IBILOLA15 jusqu’au 5 août 2018.

Je vous mets tous les détails de ma tenue à la fin de mon billet.

Le 1er août marque la fête nationale du Bénin ! Alors je souhaite une bonne fête de l’indépendance à toutes les béninoises et tous les béninois qui me suivent.

Comme vous le savez (ou pas), mes parents et moi sommes nés et avons grandit au Sénégal; mes grands-parents en revanche sont d’origine béninoise et nigériane.

Je ne connais pas du tout ma famille nigériane dont la filiation remonte à plusieurs générations mais pour ce qui est du Bénin je m’y intéresse de plus en plus, notamment depuis que j’ai décidé d’y confectionner les collections de ma ligne de vêtements.

Dans ce billet qui date de l’été 2016, je vous parlais déjà de mon souhait de retrouver mes « racines » et c’est désormais chose faite car à chaque déplacement au Bénin je prends plaisir à le visiter et à poser tout un tas de questions.

C’est une démarche importante pour moi car j’ai eu le sentiment à un moment de manquer de quelque chose dans ma construction personnelle et dans la réappropriation de mon identité.

Il y’a quelques jours sur Instagram je vous proposais de me raconter votre meilleur souvenir de vacances pour gagner cet éventail et vos réponses m’ont tellement émues et fait rêver ! Cela me permet de mieux vous connaître et m’a aussi donné envie de répondre à cette question.

Le plus beau souvenir qui m’est apparu date de cet été 1991 où je suis allée en vacances à Cotonou avec ma sœur, mon frère, ma cousine et l’une de mes tantes. Nous y sommes restés durant 1 mois et demi et avons eu l’occasion de rencontrer une grande partie de la famille que nous ne connaissions pas aussi bien du côté maternel que paternel.

Lorsque je tombe sur les photos de ces vacances je suis à la fois nostalgique et reconnaissante d’avoir eu la chance très jeune de voyager et découvrir une culture très différente de la mienne. Oh oui l’Afrique est un continent avec différents pays et peuples aux modes de vie différents !

Lorsque je parlais de « manque » je pense que c’est le souvenir de cet été là que je gardais en moi et dont je n’avais pas vraiment compris tous les enjeux jusqu’à ce que je retourne à Cotonou en mai 2017.

En tant qu’adulte, je comprends désormais que le Bénin est un pays chargé d’histoire notamment celle de la traite négrière ou encore la véritable histoire du Vaudou qui est une religion. Des récits précieux que vous découvrirez en allant à Ouidah.

A Cotonou vous pourrez aussi visiter le village lacustre de Ganvié qu’on appelle la Venise d’Afrique.

Évidemment vous pourrez faire un tour au grand marché Dantokpa et en ressortirez ivre de tous ces imprimés de tissus !

Naturellement vous ne pourrez pas résister à la tentation de goûter à l’ananas pain de sucre et aux mangues, et avocats… bon je m’égare.

Un hâlte est aussi nécessaire à la Fondation Zinsou qui œuvre pour la reconnaissance des arts et de la culture béninoise.

Vous pouvez trouver tous mes souvenirs du Bénin et de voyage sous le hashtag #Gaelleprudenciotravels

Je suis tellement heureuse d’être retournée au Bénin, d’y travailler et y créer de l’emploi !

Malgré toutes les mise en garde que je reçois régulièrement, je pars du principe qu’on attire le positif par le positif alors autant être dans cette dynamique pour tout ce que j’entreprends notamment avec mon pays.

Pensez à ce petit pays d’Afrique de l’Ouest pour votre prochaine visite sur le continent.

En réalité je rêve d’organiser un séjour au Bénin et un autre au Sénégal pour vous faire découvrir ces 2 pays autrement qu’avec les images véhiculées par les médias. Ça vous dirait de venir avec moi ? Je m’y vois déjà en guide touristique moi !

En attendant je vais continuer à profiter de Paris, ma ville d’adoption que j’aime tant ! Et en bonne afropéenne que je suis : c’est une fierté de me promener dans la dite capitale de la mode en portant une jupe de ma collection confectionnée au Bénin. Comme je le disais plus haut, Ibilola est vraiment un moyen pour moi de me réapproprier mon identité. C’est bien plus qu’une ligne de vêtements en Wax. 

Allez ! Je vous laisse découvrir les photos de cette tenue.

Je vous souhaite un joli mois d’août et de bonnes vacances si vous partez ce mois-ci.


Je porte : Marinière similaires ici / Jupe Ibilola imprimé « Green » / Bracelets Ibilola / Boucles d’oreilles H&M ici / Pochette Mango (ancienne collection) / Sandales La Halle (offert par la marque) / Eventail en rafia du Burkina Faso à gagner sur mon compte Instagram


*Promotion valable pour une première commande chez Ibilola

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Hello mes beautés !

Quel plaisir de revenir partager un look avec vous et surtout vous parler d’une couleur, must have du dressing représente pour moi et ce en quoi porter du rouge est mon astuce pour booster ma confiance en moi. Je parlerai ici d’affirmation de soi et du choix de son entourage. 

S’il y a une pièce qui me donne de l’assurance quelque soit l’occasion c’est la fameuse robe rouge.

Celle que je porte sur ces photos est une valeur sûre : coupe porte-feuille ultra féminine, longueur midi comme je les aime et toucher soyeux. 

Je vais vous faire une confidence : je l’avais dans mon panier depuis un moment mais j’hésitais à la shopper notamment à cause de la matière qui ne me semblait pas agréable. Je me suis finalement décidée à craquer lorsque je l’ai vue sur Rachel ! Et j’ai bien fait !

Cette robe, au delà de sa coupe et de sa couleur a une particularité : des manches oversize et ce n’est pas pour me déplaire car j’ai des épaules tombantes qui ne sont parfois pas mises en valeur par certaines tenues.

Celle-ci est parfaite notamment pour la saison des mariages en ce moment. Elle est encore disponible dans toutes les tailles et soldée ici. Je porte une taille 24 uk / EU 52. 

Je ne peux m’empêcher de penser à une femme dont le parcours m’inspire énormément. Je profite de ce billet pour rendre hommage à celle dont le travail a contribué à un moment à mon chemin vers l’acceptation de soi, notamment de ma féminité et dans la prise de conscience de mon corps dans l’espace. 

Il s’agit de la danseuse, chorégraphe, comédienne Maïmouna.

Pendant 16 ans, Maïmouna a porté du rouge. De la tête aux pieds sans jamais se départir de cette couleur qui était devenue sa signature. Cela amusait, intriguait et marquait surtout les esprits.

Maïmouna a décidé il y a quelques mois d’arrêter de porter exclusivement du rouge et de réserver cette couleur à la scène.

Maïmouna « Rainbow » est alors née.

Les raisons pour lesquelles elle a porté du rouge pendant toutes ces années et celles pour lesquelles elle a aujourd’hui décidé d’arrêter lui appartiennent ; en revanche l’impact de sa force de caractère et sa façon de transmettre une certaine confiance en soi ont été un réel moteur pour moi lorsque je prenais des cours de Booty Therapy avec elle. Si vous me suivez sur Instagram vous n’avez pas manqué les stages de danse auxquels j’ai assistés ! D’ailleurs, dans le podcast ME MY SEXE AND I® Axelle me demande ce que je suis heureuse de faire grâce à mon corps. Eh bien la première chose qui m’est venue à l’esprit c’est « danser ». Cela grâce aux cours avec Maïmouna, d’autant plus qu’on m’avait déclaré enfant que « grosse comme tu es tu ne pourras jamais danser ». 

Je voudrais la remercier pour cette passion de la danse qu’elle m’a insufflée. Pour cette possibilité qu’elle m’a donnée de m’exprimer avec mon corps en le voyant bouger et cela jusqu’à Hollywood Boulevard à Los Angeles il y a quelques années. Cette fameuse journée, je décidais de ne plus porter de collants sous mes shorts. Je me libérais enfin de ce complexe de mes jambes que je traînais encore. C’était un moment de lâcher-prise dans tous les sens du terme.

On me demande régulièrement quelles sont les femmes qui m’inspirent : Maïmouna est assurément l’une de ces femmes :  qu’elle soit en rouge ou dans toutes les couleurs de l’Arc-en-Ciel, je suis ravie de pouvoir suivre son parcours. 

Qu’on le veuille ou pas, notre entourage joue un rôle important dans notre vie et dans notre prise de confiance en soi. Il est donc impératif de savoir s’entourer de personnes qui par leurs actions, leurs conseils savent nous tirer vers le haut. Je suis reconnaissante d’avoir croisé la route de Maïmouna et d’autres femmes ces dernières années. Il suffit parfois d’une simple phrase prononcée par ces personnes pour nous permettre de nous remettre en question, nous ouvrir l’esprit sur certaines questions ou nous donner ce petit quelque chose de motivation pour aller plus loin dans notre désir. Alors Merci Maï et bonne route dans toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.

Porter du rouge c’est finalement pour moi comme avoir un costume de super-héroïne prête à conquérir le monde !

C’est un tel bonheur d’en porter. Je pense que ça se voit sur les photos. De toutes les façons sachez que je suis hilare sur presque toutes les photos prises ce jour. J’étais tellement contente de refaire un shooting pour le blog et de savoir que j’allais de nouveau avoir plus de temps pour poster quelques billets !

Et vous ? Quelle est cette couleur qui vous donne confiance en vous ? 

Je vous laisse découvrir les photos et les détails sont tout à la fin du billet.

Je porte : robe ici / Bracelets « Ife » de ma ligne de vêtements et accessoires grande taille Ibilola ici / Boucles d’oreilles H&M/ Pochette Mango (very old) / Pin’s Coucou Suzette chez Pauline et Julie Store/Sandales Asos ici (pointure EU 42 pour mon 43)/ Ma perruque ici

Mes photos ont été prises par Rachel Saddedine et ma mise en beauté réalisée par Blakia. Nous allons d’ailleurs publier le tutoriel sur nos comptes Instagram cette semaine.


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Hello mes beautés !

Ma devise « chaque vêtement a une histoire » n’a jamais été aussi vraie qu’avec la combinaison que je porte sur ces photos.

Je l’avais repérée sur Asos depuis un moment mais c’est grâce aux soldes que j’ai craqué dessus ! Elle est malheureusement en rupture de stock dans les grandes tailles mais vous pouvez la shopper si vous êtes entre le 36 et le 44. Je vous ai préparé une sélection shopping de combinaisons à la fin de ce billet si vous vous habillez en grande taille.

Sachez que vous avez tout à fait le droit de porter une combinaison en étant grosse. N’en déplaise à une certaine styliste qui officie à la télévision et que je ne nommerai pas car mon blog n’accueille que la positivité et la bienveillance.

Parlant de bienveillance, c’est ce dont a fait preuve Axelle Jah Njiké lorsqu’elle a recueilli mon témoignage pour son podcast « ME MY SEXE AND I® » dans lequel je me raconte sans filtre, juste Gaëlle avec mon histoire et ma citronnade.

« Quand la vie vous donne des citrons, faites de la citronnade (en Anglais : « when life gives you lemons, make lemonade ») est une expression proverbiale utilisée pour encourager une attitude optimiste face à l’adversité ou le malheur. » Source Wikipédia.

Cette combinaison, ses imprimés, les histoires dans les livres, Paris ma ville, d’adoption, mes bracelets Ibilola racontent en partie ces citrons que je presse un à un pour en faire une citronnade bien fraîche que j’ai pris beaucoup de plaisir à raconter dans ce podcast et à livrer au fil des années à travers mes écrits sur internet, les vêtements que je porte, les événements que j’ai organisés, la marque que j’ai créée. 

Il y a quelques semaines, lorsque Danielle m’a invitée à participer à son événement « Dear mama : take care » pour partager mon parcours auprès d’autres femmes, elle m’a dit  » j’aimerais que tu racontes comment tu t’es construite. » Dans la présentation qu’elle a rédigée à mon sujet, il était noté « C’est la personne la plus résiliante que je connaisse ! J’ai appris à ses côtés ce qu’est le vrai Body Positive, l’une des composantes du Self Care. »

Je vous avoue que ça m’a un peu mis la pression tout ça ! Cela m’a demandé une certaine introspection, comme celle dont je vous parlais dans mon billet précédent au sujet de l’énoncé de mission personnelle que j’ai eue à rédiger il y a un peu plus de 2 ans avant de me réapproprier Gaëlle Prudencio.

Lors de la journée Dear mama, je sortais de semaines particulièrement intenses et c’est ce que je voulais partager. Parler du Body positive à travers mon poids je le fais à longueur de journées et cela depuis plus de 10 ans et je souhaite désormais en parler au delà du corps. J’ai envie de vous parler à coeur ouvert de la manière dont « je suis passée de celle qu’on a appelée « la grosse gogole » à celle qui dépasse ses complexes, apprend à se faire confiance, crée son entreprise, place le mieux être au cœur de sa vie et prépare sa propre citronnade avec les citrons que la vie lui donne ? « ?

J’avais envie de parler du suicide de ma grande soeur, de mon avortement et de ce que cela impliquait pour moi (MERCI Simone), du cancer de ma cousine, de son décès et de la force qu’elle m’a donnée pour continuer à avancer sans elle.

J’ai envie d’aborder ces questions là qui sont généralement tabou, qui sont à la limite honteuse et dont le silence gangrènent nos communautés et empêchent certaines femmes à se réaliser et de vivre la vie qui leur appartient.  Je suis contente de l’avoir fait car Axelle qui était présente ce jour-là et qui a aussi livré son témoignage bouleversant m’a proposé de m’exprimer dans son Podcast ME MY SEXE AND I®.

Wahoo sortir d’un cadre très fermé de quelques personnes à celui d’un format que je ne maîtrise absolument pas (surtout que je suis une pipelette !!) est un sacré challenge pour moi mais vous savez quoi ? Partager ces sujets là avec d’autres femmes, s’autoriser à libérer la parole peut contribuer à d’autres chemins de vie. Je l’avais déjà vu au moment de balancer mes porcs dans mon billet Me too

J’estime avoir énormément de chance en fin de compte de m’exprimer sur une plateforme qui m’appartient. J’ai dû faire fi de beaucoup d’interdits, me construire envers et contre tous, faire fi d’une éducation basée sur la pudeur pour commencer un blog et apprendre toute seule ce qu’est la liberté d’expression. Celle-ci n’a pas de prix et à ce titre, j’espère que mon témoignage pourra en inspirer d’autres, pourra motiver d’autres à prendre le lead et à se dire qu’il y a de la lumière tout autour de nous. 

Je ne suis pas en mesure de changer des vies. J’aimerais bien mais je n’en ai pas le pouvoir.

En revanche je sais une chose : des drames nous en vivons tous. Nous ne pouvons malheureusement les éviter s’ils doivent arriver. Néanmoins, c’est la façon dont nous apprenons à les appréhender qui va changer toute la donne et la suite des événements. Ceci passe notamment par l’acceptation de notre histoire telle qu’elle est, sans jugement ainsi que la libération de notre parole, et par la dégustation de notre citronnade. J’avais commencé à le faire bien avant gaelleprudencio.com et ce lookbook et aujourd’hui je la poursuis avec encore plus l’envie de partager, transmettre car nous avons encore tellement d’histoires à écrire, de pages à tourner, de feuilles à noircir et de livres à lire.

C’est beau et c’est encourageant pour l’avenir. 

Je vous donne donc rendez-vous sur ME MY SEXE AND I® : prenez un casque, press play et faisons connaissance. 

Prenez soin de vous mes beautés. Je vous souhaite de belles vacances.

Les détails de la tenue et la shopping list sont après les photos.

Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas fait de shooting pour moi, pour mon blog sans que ça ne soit pour Ibilola. J’ai hâte de vous montrer les autres photos prises par Rachel Saddedine et la mise en beauté par Blakia.

Je porte : combinaison Asos Curve (des styles similaires en soldes et en grande taille par ici) / Lunettes Prada / Bracelets « Ife » de ma marque Ibilola / Panier Bélya / Bijoux H&M / Sandales pour pieds larges ici (attention pointure EU 42 = 43))

 

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Hello mes beautés !

Je profite d’avoir réussi à immortaliser la tenue que je portais pour un dîner cette semaine pour poster ce look aux couleurs du drapeau français. Retrouvez les liens pour le shopping à la fin de l’article. 

Ce n’est pas vraiment un hasard du calendrier car je supporte les Bleus à l’occasion de la Coupe du monde de football et de la même façon que je porte les couleurs du Sénégal ?? et du Bénin ?? , je suis fière de porter celles de la France ?? durant ces quelques heures qui je l’espère nous séparent d’un triomphe de notre équipe nationale !

Je suis officiellement française depuis un peu plus d’un an même si je me sens française depuis bien plus longtemps qui plus est depuis que j’ai décidé d’entamer les démarches pour être naturalisée.

Cela a vraiment été un choix pour moi. Un choix guidé par tout un travail que j’ai mené sur mon identité et que je vous racontais en juillet 2016 à (re)lire ici.

Chaque vêtement a une histoire et la tenue que je porte aujourd’hui n’y échappe pas ! Elle me donne l’occasion de célébrer la nouvelle direction de blogging que j’ai prise il y a 2 ans et qui avait été marquée par cet article (ici). Il posait les jalons de tous mes projets de ces 24 derniers mois notamment le travail sur mon identité en tant que femme, que femme africaine vivant en Europe et bien plus encore. En tant que Gaëlle Prudencio.

Avec mes récentes activités : nouvelle collection Ibilola, campagne de promotion du défilé #IFeelUnique , j’ai un peu déserté mon blog, cet espace où j’aime temps m’exprimer. Je profite donc de ce billet pour écrire quelques lignes et marquer nos noces de cuir !

“Tout est possible à qui sait choisir le moment.” Marguerite Beaudry C’est très rare que j’empreinte une citation pour titrer l’un de mes billets mais celle-ci résume ma pensée. 

Ces dernières semaines j’ai répondu à énormément de questions que ce soit à des interviews radio, tv, sur des podcasts (hâte de les partager avec vous) et à vous aussi grâce à la nouvelle fonctionnalité mise en place par Instagram. Parmi ces questions il y en a une qui demandait un peu plus que quelques mots comme réponse.

Il s’agissait de « aurais-tu pu imaginer toutes les bonnes choses qui t’arrivent en ce moment ? »

La réponse est clairement non. En revanche, il y a un peu plus de 2 ans, lorsque j’avais entamé un travail de coaching, je devais rédiger mon « énoncé de mission personnelle ».

Un texte de plusieurs pages où il était question de raconter mon histoire, clarifier mes objectifs et mes souhaits notamment professionnels. 

A l’époque j’étais lassée du blogging, je stagnais et perdais confiance en moi mais une force invisible me poussait à persévérer et à repartir à zéro. Aux prémices de cette aventure sur Internet. A savoir les raisons pour lesquelles j’ai commencé tout ceci. « Quand tu ne sais pas où tu vas regarde d’où tu viens ». C’est exactement ce que j’ai fait avec cet « énoncé de mission personnelle ».

J’avais trouvé cet exercice particulièrement difficile car cela nécessitait de ma part une certaine discipline, de la concentration et surtout de me projeter dans le temps.

Un exercice néanmoins bénéfique car il a posé les bases pour la première fois de ce que je souhaitais pour moi, dans ma vie.

Il y a quelques semaines, j’ai relu mon texte et suis restée bouche bée devant tout ce que j’avais rédigé et qui s’est réalisé durant les mois qui ont suivi !

J’y écrivais notamment : « Je me suis rendu compte que finalement j’ai pendant longtemps estimé que je n’avais pas le droit de réussir, de gagner de l’argent, de me faire confiance, de donner le meilleur de moi-même.

J’entends depuis toute petite “peut mieux faire” alors je suis toujours restée en surface, laissant l’occasion aux autres de briller; contribuant d’ailleurs au rayonnement de l’autre mais moi je n’ai pas creusé plus loin. Je n’ai jamais eu d’ambition. » 

C’est tout au long de ma rédaction que mes désirs se clarifiaient, je terminais le texte par ceci « Je veux être cette femme qui en étant convaincue que les médias et les régimes détruisent les femmes et le rapport à leur corps réussit à faire bouger les lignes.

Je veux mettre en évidence le fait que s’aimer est un travail de longue haleine et qu’il vaut le coup d’être fait.

Je veux être cette femme qui détruit les croyances au sujet des personnes obèses : inactivité, laisser-aller, manque d’investissement.

Au delà de la question du corps : c’est l’intérieur qui m’intéresse. C’est ce que les vêtements essaient de cacher qui m’intéresse.

Je suis déterminée, enfin, à réussir à atteindre mes objectifs. » 

J’étais tellement émue en relisant ces lignes et en passant en revue les images de ces derniers mois !

Alors effectivement je n’aurais pas pu imaginer que 2 ans après avoir rédigé ces lignes je pourrais regarder en arrière et réaliser que je réussis à atteindre mes objectifs. Je n’aurais pas pu l’imaginer mais j’avais le désir profond de réussir et l’ai encore d’ailleurs car le chemin commence à peine.

Tout ceci pour dire que OUI ça marche d’avoir des rêves ou des objectifs vous dites comme vous voulez, d’y croire, de les consigner quelque part comme une sorte de contrat et de travailler pour. Il paraît qu’écrire ses rêves permet de les formaliser. Je vous invite donc à le faire. A rédiger des contrats avec vous-même surtout si vous avez un projet auquel vous tenez particulièrement. (cet article vous aidera sans doute pour cette rédaction. Dites le moi si vous essayez !)

C’était un réel risque de décider de tout reprendre depuis le début car vous qui me suivez depuis des années auriez pu ne pas adhérer à cette nouvelle direction, j’aurais pu complètement me planter en fait sauf que je me demande ce que seraient nos vies si nous ne prenions pas un minimum de risques ? En fin de compte si les choses ne marchent pas, nous avons au moins le mérite d’avoir essayé alors Y.O.L.O ! You only live once.

C’était en tous cas le bon moment pour moi de me mettre au travail. J’avais commencé à me réconcilier avec moi-même, à prendre plus soin de moi et à m’affirmer complètement. 

Quelqu’un a récemment eu le toupet de me dire « oh tu as trop de chance d’avoir ceci ou cela ». Euh non. Ce n’est pas une question de chance.

Tenir un blog, se mettre à nu comme ça aux yeux du monde, partager parfois des choses de l’ordre de l’intime, montrer sa vulnérabilité , partager un chemin, embarquer d’autres personnes avec soi, créer une communauté sans s’en rendre compte, se créer ses opportunités et savoir en saisir d’autres au bon moment, travailler sans relâche et en récolter les fruits au bout de 10 ans : c’est loin d’être une histoire de chance.

Je voudrais par ailleurs rajouter qu’entamer un travail sur soi, se concentrer sur soi pour se donner une chance de réussir, d’être au coeur de sa vie va peut-être nécessiter de se séparer d’un certain nombre de pensées mais aussi de personnes dans son entourage. Ce n’est pas toujours évident à gérer car il s’agit bien souvent de personnes que nous aimons mais c’est nécessaire pour poursuivre notre route. Nous n’avons pas tous le même timing, les mêmes aspirations, et le même degré de bienveillance les uns envers les autres et vous savez quoi ? Ce n’est pas grave ! Cela fait partie de la vie et de l’aventure. Peut-être vous retrouverez-vous plus tard ? Mais à l’instant précis vous êtes votre priorité et c’est le plus important. Choisissez-vous. Toujours.

Le fait de me choisir il y a 2 ans a profondément changé ma relation avec le reste du monde. Je ne regrette pas de l’avoir fait car j’ai aussi une relation plus apaisée avec certaines personnes de mon entourage et ai réussi à trouver mon équilibre et surtout avoir plus confiance en moi. 

J’ai suivi et suis encore ma joie. Cela n’a pas de prix. Croyez-moi. 

Je vous laisse avec quelques photos de cette tenue et vous mets les détails à la fin de l’article.

 

Le pantalon est une merveille. Il reste encore quelques tailles ici. Il est un peu stretch et épouse bien les formes. Il est particulièrement agréable à porter car léger. Ce qui n’est pas négligeable avec les températures actuelles !

Le top est en réalité un body souvent car facile à associer avec tout type de bas. Il est en vente ici.

Le soutien-gorge est de chez Elomi. Je l’ai reçu dans le cadre d’une collaboration sponsorisée par la marque. Vous pouvez retrouvez mes différentes photos ici, ici et ainsi qu’une revue détaillée dans l’onglet « review » en une de mon compte Instagram. La liste des magasins pour trouver la marque est disponible ici. Vivement la version francophone du site hein !

Les bracelets sont de chez Ibilola, of course ! C’est l’imprimé « Shuri » comme notre petit génie dans Black Panther. Tous les bracelets sont en vente ici et en livraison sous 3 à 4 jours. Ainsi que les Aba rings, ces bijoux de tête que je porte.

La pochette est sold out, en voici unr tout aussi sympa ici. Je pense la recycler en objet de déco chez moi.  Les lunettes ici. Les boucles d’oreilles viennent de chez H&M. Je les ai achetées en magasin.

La veste date d’il y a 2 saisons.

Enfin, je porte ces sandales, mes alliées de la saison estivales. Confortables au possible et adaptées à la largeur de mon pied. Attention il faut commander la pointure en dessous soit un 42 pour moi qui chausse un 43. Elles sont en vente ici.

Merci à Rachel Saddedine pour les photos.


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Je porte un maillot de chez Miraclesuit et vous pouvez le gagner en ce moment sur mon compte Instagram !Je l’ai fait !

Le 7 juillet 2018, au parc des Expositions de la porte de Versailles, sur le catwalk du salon de la lingerie et du maillot de bain, j’ai participé à un défilé 100% Body Positive avec des femmes qui ont des histoires de corps différentes pour casser les codes et se servir du maillot de bain comme outil pour la confiance et l’acceptation de soi. 

Nous étions 15 femmes à la fois sublimes, sexy et émouvantes face à des professionnels de la mode et la presse qui se sont laissés prendre au jeu de la bienveillance. 

J’ai relevé ce défi. Oui c’était un défi pour une Gaëlle Prudencio qui pose en maillot de bain depuis un certain temps maintenant sur son blog et les réseaux sociaux notamment par le biais du challenge French Curves ou encore avec le Curves, Cocktails & Bikinis organisé il y a un an. C’est un défi pour cette même Gaëlle qui vit très bien dans ses rondeurs et qui a fait du maillot de bain l’une de ses armes pour militer contre la grossophobie en tant que porte-voix du mouvement Body Positive en France.

Oui c’était un sacré challenge pour moi de défiler en maillot de bain en sachant que je serais la plus grosse sur le catwalk et cela parce que je reviens de loin, de très loin et pas uniquement d’un point de vue physique car en fin de compte le Body Positive c’est d’abord un état d’esprit avant d’être un hashtag relayé par la presse et désormais utilisé par les marques comme argument marketing.

Été 2006, je suis sur la plage à Dakar avec de la famille et des amis.

Il y avait de tout, des petits, des grands, des blancs, des noirs et une grosse. La grosse c’était moi. Je passais un bon moment avec tout le monde jusqu’à ce que j’ai l’idée saugrenue d’aller me baigner. Mais oui c’est une idée absurde que d’être à la plage et de vouloir plonger dans l’eau !

Je n’ai jamais eu de problème pour me mettre en maillot de bain. Je n’ai jamais eu honte de mon corps. Aussi loin que je me souvienne j’ai toujours été à l’aise avec mon enveloppe charnelle. Pas autant qu’aujourd’hui après toutes ces années de travail sur l’acceptation de soi à travers le blogging mais je n’en ai jamais été malade. Pourtant ce jour là j’ai pris conscience que les autres en revanche avaient un réel problème avec une grosse en maillot.

Lorsque j’arrivais dans l’eau, j’entendais moqueries, sobriquets en tous genres, tentatives de me toucher. Ce calvaire a duré une dizaine de minutes puis je suis sortie de l’eau car trop ennuyée par ces gens. Certains ont même voulu nous encercler ma cousine et moi pour continuer l’agression verbale. J’ai alors perdu patience et commencé à vociférer qu’on nous lâche la grappe. Je pense que personne dans mon entourage ne comprendra jamais cet accès de rage dont j’ai fait montre car j’étais du genre « docile » à l’époque. J’étais toujours été la rigolote de service, le pitre qui ne se mettait rarement en colère. Mais ce jour là c’en était trop.

Je découvrais la grossophobie. Crue. Brutale. Violente. 

Celle que beaucoup considèrent comme inexistante car c’est tellement facile de se moquer du petit gros. Il devrait d’ailleurs remercier ses bourreaux car voyez-vous ces moqueries auraient pour but de l’aider à prendre conscience de sa situation et le motiver à se bouger les fesses pour perdre du poids. Humilier le petit gros serait bénéfique pour lui en fait ! Laissez moi rire. 

Le seul bénéfice que je retire à cet épisode est qu’il a été le point culminant, ce moment précis où j’ai dit stop à ces humiliations, où il était plus que temps que je reprenne le pouvoir et ma place dans la société.

Que je m’affirme et que je n’ai pas honte de le faire, que je n’ai pas honte de me montrer au monde telle que je suis.

A savoir une femme fière d’elle, de son corps, de son histoire. Une femme ambitieuse, intelligente, belle, tenace et à la fois sensible. 

A l’époque, j’étais déjà active sur des forums dédiés à la Size acceptance, notamment le site Vive les rondes où je lisais des échanges au sujet des discriminations envers les personnes en surpoids. C’est d’ailleurs de là que j’avais commencé mes recherches pour rédiger mon mémoire en droit social durant mon année de master 1 : « Le poids des apparences : l’obésité, source de discriminations ? » 

C’est aussi à l’époque qu’a commencé ma passion pour la mode grande taille, pour cette industrie qui peine tant à prendre sa place.J’étais en pleine recherche de vêtements pour passer des entretiens en vue de décrocher un stage et malheureusement, vivant dans une société guidée par l’apparence, je savais que mon poids ET le fait d’être une femme, qui plus est noire ne joueraient pas en ma faveur malgré mes compétences qui n’étaient nullement à prouver.

J’ai alors pris le parti de travailler sur mon apparence, sur mon style et mon look. De tout miser sur les vêtements et d’en faire des alliés dans ma vie professionnelle. Ceci a été une réelle révélation car ce sont les vêtements qui m’ont permis d’apprendre à m’accepter. C’est pour cette raison que je dis souvent que chaque vêtement que je porte a une histoire. 

Qui aurait cru que plus d’une décennie après j’aurais moi-même créé Ibilola ma ligne de vêtements ou encore qu’Eurovet, organisateur du salon Unique by Mode City me proposerait de devenir ambassadrice du défilé Body Positive qui se préparait : de défiler en maillot de bain depuis des centaines de personnes ? 

Pour tout vous avouer, l’un de mes rêves est d’assister (en front row évidemment !) à des défilés de la Fashion Week où des femmes de toutes les morphologies seraient représentées. Une utopie pour certains, une étape déjà franchie par les Fashion Weeks américaines alors pourquoi pas Paris ?

Lorsque j’ai reçu cette proposition de Unique by Mode City, je me suis dit « Girl ! Let’s do it ! » Let’s do itparce que nous sommes à Paris, la fameuse capitale de la mode sauf pour 46% de la population qui s’habille en taille 42 et plus.Let’s do it parce que relever ce défi personnel pour toi-même c’est aussi militer à ta façon pour l’acceptation de soi et l’acceptation de tous les corps.

Alors oui j’aimerais évidemment que ça ne soit pas un one shot et que ce type d’initiatives vont se multiplier pour aller encore plus loin. J’espère vraiment que les prochaines éditions, petit à petit verront plus de diversité sur le catwalk et que ça ne sera plus accueilli comme extraordinaire de voir ce type de défilé. Oui j’espère que cette prise de conscience n’est pas qu’une tendance notamment pour la presse ni un argument marketing pour les marques. Et si les marques spécialisées dans la lingerie et le maillot de bain grande taille commençaient par présenter leurs collections sur des mannequins qui correspondent à leur clientèle déjà ?

En tous cas je continue à militer dans ce sens et continuerai à porter ce message toujours plus loin notamment hors des écrans, des réseaux sociaux avec des événements comme celui-ci car mine de rien ils permettent d’ouvrir la conversation sur des questions sommes toutes assez évidentes en fait en ce qui concerne la mode inclusive. 

En attendant d’aller encore plus loin, j’ai profité de chaque instant de ce défilé.

Des répétitions où les mannequins taille standard nous regardaient du coin de l’oeil lorsque nous sommes arrivées dans les loges à ce moment précis avant d’arriver sur scène pour défiler où elles ont toutes quitté leurs écrans de téléphone pour nous encourager et nous donner de la force. 

Je suis fière d’avoir participé à ce défilé dans un cadre professionnel, au sein de l’industrie même, pas en marge du salon, non c’est même le créneau horaire le plus attendu du salon. Fière d’avoir défilé aux côtés de ces femmes qui chacune est sortie de sa zone de confort, qui chacune avec son histoire a montré à quel point s’accepter est une belle aventure. 

Merci à chacune des participantes au concours que nous avions lancés sur Instagram avec Valériane et Julie et avec qui j’ai partagé ce moment. Chacune m’a donné de la force, chacune porte ce message à sa façon et c’est un beau message. Comme l’a si bien dit Julie alias @DouzeFévrier : « aujourd’hui nous avons cassé les codes et ça fait du bien ». 

Je suis fière de mon corps, de mon moteur. Je ne pourrai jamais renier ce corps là.Celui dans lequel je vis là maintenant. Celui qui me permet de me déplacer, de travailler, d’entreprendre et que je chéris à chaque étape de ma vie. 

Merci à vous qui me suivez, me lisez, m’accompagnez. J’ai vécu ce moment pour chacune de mes lectrices qui partage un peu de son histoire avec moi. Merci mesdames de m’inspirer chaque jour.

Body positive c’est le corps certes mais c’est aussi et surtout l’esprit. C’est comment je vis avec mon corps, comme je fais de mes insécurités des alliées pour avancer, faire ma place et shine bright like a diamond ? Comment j’apprends à prendre confiance en moi, à dépasser mes propres limites et à me féliciter ?

On est ensemble. Body Positive c’est ensemble. S’accepter à l’instant T de sa vie et accepter l’autre tout le temps tel qu’il est. C’est pour moi un mouvement qui rassemble. Qui nous rassemble loin des diktats de la beauté et c’est ensemble que nous faisons évoluer les mentalités. Nous n’avons pas besoin de nous opposer pour se valoriser. 

Allez ! Suffit ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu autant envie d’écrire ainsi et ça fait du bien.

Je vous laisse avec quelques images des coulisses du défilé et celles du défilé même en vidéo ainsi que mes interviews sur BFM tv et le Parisien. Pour plus de parutions presse, podcasts, n’hésitez pas à faire un tour sur la page presse ici il y  a de quoi pour la route des vacances.

Je vous donne aussi rendez-vous sur ma chaine IGTV pour découvrir mon premier vlog qui reprend les coulisses de ce défilé.

Je vous embrasse et vous souhaite de belles vacances en maillot de bain, quelque soit votre taille : évidemment ! Avez-vous déjà choisi celui dans lequel vous allez slay cet été ? J’ai hâte de vous relire. Ça fait longtemps ! 


Hello mes beautés !

Pour fêter mon anniversaire il y a quelques semaines, j’ai embarqué toute ma team d’amis à Deauville pour un pique-nique au bord de la mer. Mon endroit préféré sur Terre.

Lorsque je suis arrivée au lieu de rendez-vous avec une partie de la team, une amie m’a dit « Mais tu vas où comme ça ? Tu es sapée alors qu’on va juste pique-niquer sur la plage ! »

Je lui ai répondu « Ma chère, qui va se négliger ? »

Le plus drôle dans l’histoire c’est que je n’avais pas le sentiment d’être particulièrement apprêtée. J’avais choisi des vêtements confortables au possible, un petit look casual avec ce pantalon noir fluide et hyper léger, ce tee-shirt à message auquel je n’ai pu résister et ces tennis en dentelle so girly que je n’ai pas quittées depuis que je les ai reçues.

L’ensemble de ma tenue a été composée grâce à la sélection de vêtements que j’ai réalisée sur l’e-shop de l’enseigne La Halle.

Honnêtement je connaissais cette enseigne de nom mais n’ai jamais visité aucune de leurs boutiques, ni fait de shopping sur leur site qui propose pourtant une large sélection de vêtements et accessoires pour toute la famille dont les femmes rondes avec la marque Modavista.

C’est uniquement en décembre 2017 que j’ai commencé à m’intéresser à cette enseigne lorsqu’elle a lancé une collection capsule avec Stéphanie Zwicky sur la ligne grande taille . A l’époque, ce qui m’avait plu, c’était le fait que l’enseigne avait suivi la volonté de Stéphanie de poser en body et collants résilles, en plein coeur de Paris sur le Pont Alexandre III. Aucune enseigne française n’avait jamais été aussi loin en terme de prise de position 100% Body positive pour de la mode grande taille. J’avais adoré et pensé que cette enseigne souhaitait réellement s’impliquer auprès de cette cible là.

Eh bien je ne suis pas déçue car quelques mois plus tard, au début du printemps 2018 exactement, La Halle m’a contactée pour m’annoncer qu’ils lancent une ligne de chaussures pour les grandes pointures et les pieds larges avec Fitters.

Oh my God ! Vous me connaissez non ? Vous savez que c’est le genre de nouvelles qui me rend particulièrement heureuse vu comme j’ai galéré dans ma vie pour chausser ma pointure 43.

J’ai donc reçu toute la collection pour me faire une idée précise de ce qui est proposé, des coupes, du taillant, de la véracité du « pied large » parce qu’on les connaît hein !

Eh bien j’étais agréablement surprise car non seulement les modèles vont bel et bien à ma pointure 43, ils sont aussi confortables. Pour information, ces jolies sandales à brides sont le seul modèle qui chausse petit. Je conseillerais de prendre 2 pointures au dessus de la votre, notamment si vous avez le pied large.

Cette nouvelle ligne de chaussures est composée de modèles basiques pour le quotidien et de petites paires originales comme les tennis en dentelle de ma tenue que j’ai aussi en rose et qui apportent une petite touche for romantique à mes tenues.

La collection s’étend jusqu’à la pointure 45 et coûte entre 19€ pour une paire de sandales et 39€ pour les mocassins.

Je vous donne rendez-vous dans mes stories sur Instagram pour vous montrer les différents modèles que j’ai reçus.

Connaissiez-vous cette enseigne ? Y avez vous déjà fait du shopping ? En magasin éventuellement ?

 

Je porte : pantalon (sold out) / Tee-shirt / Baskets La Halle – Boucles d’oreilles/Montre Asos/ Lunettes Primark Bracelets Ibilola

*Billet sponsorisé.

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